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Le Journal et la "Voie Sacrée".

LE « JOURNAL DE LA HAUTE-MARNE »

ET L’HISTOIRE DE

LA  «  VOIE SACRÉE  »

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Un de mes amis connaissant mes difficultés à faire dénommer officiellement la route stratégique Bar-le-Duc/Moulin-Brûlé (Verdun) « Voie Sacrée »,

dans la traversée de la ville de Bar-le-Duc, m’a incité à rencontrer madame MELISON, travaillant pour le « Journal de la Haute-Marne ».

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Pour lui, c’est la seule personne à pouvoir m’aider sans qu’elle profite de la situation (en utilisant mes travaux pour son compte personnel). Je lui fais confiance. Et il organise une rencontre.

 Au cours de l’année 2002, nous nous sommes entretenus en présence d’un témoin à Saint-Dizier, au Vert-Bois, dans un café dénommé le « Pichet », vers onze heures du matin. Au cours de notre discussion, je lui raconte mon histoire, mes démarches, mes échecs….

 Intéressée par mes explications, elle m’invite à lui adresser un premier article, qui retracerait l’histoire de la « Voie Sacrée » ainsi, qu’un second qui paraîtrait par la suite ; il reprendrait mes différentes démarches dans le but de réparer cette erreur historique.

 Au cours de notre conversation, en présence d’un témoin, j’ai formulé une exigence, afin de protéger mes travaux : faire figurer mon nom dans le texte à paraître comme :

 « - Christian BOULAY raconte ».

 J’ai été correspondant de presse au journal « L’Union » et je sais que n’étant pas journaliste, je ne pouvais pas signer mes articles.

 Sur le principe, elle était d’accord.

 Fin octobre 2002, je lui adresse le premier article, dactylographié, d’une dizaine de pages, qui est titré :

 « La bataille de Verdun et l’histoire de la « Voie Sacrée ».

 - Il est accompagné de photos, ainsi que d’un courrier pour lui rappeler que mon nom doit figurer dans cet article pour la raison que j’ai évoquée.

 Il faut savoir que je suis passionné d’histoire et comme tous les passionnés, je ne comptabilise ni mon temps, ni mes dépenses. (photocopies, achats de livres, revues, frais de secrétariat, de déplacement dans différentes villes de France pour me rendre, aux archives, bibliothèques, etc).

 Or, le texte que j’ai envoyé, représente des mois de recherches. Alors que Madame MELISON est rémunéré par son journal.

 Le lundi 11 novembre 2002.

Paraît cet article qui porte le titre :

 « La Voie Sacrée cette courroie de transmission ».

 Et qui représente, pour ainsi dire, une page entière du journal.

 Il a pour sous-titre :

 « La France commémore, aujourd’hui l’Armistice 1918, l’occasion d’évoquer cette route Bar-le-Duc/Verdun qui, au plus fort des combats de 1916, allait entrer dans l’histoire sous le nom de « Voie Sacrée » etc.

 Je n’ai pris connaissance de celui-ci, quinze jours après sa parution, Madame MELISON n’ayant pas eu la présence d’esprit de m’adresser un exemplaire du journal.

 Un article comme celui que je lui ai remis, c’est du pain béni. Il lui suffit de rayer un mot ou de le déplacer, et d’y apporter sa note personnelle. Nous avons chacun notre style et le tour est joué.

 Je lui ai téléphoné pour lui faire part de mon mécontentement et puis, il n’était plus question de lui en adresser un second. Pour se justifier, elle me répond :

 Sous la photo qui illustre cet article, il est écrit :

 « Sur le dernier tronçon qui mène au front (collection Christian BOULAY) ».

 Pour elle, cela suffit. Pour réparer cet oubli, elle me propose de lui en adresser un second, qui relaterait mes démarches.

 Je lui fais une nouvelle fois confiance.

 Le 12 décembre 2002.

 Je lui adresse un second texte dactylographié accompagné de photos. Il est titré :

 « L’histoire inédite de la « Voie Sacrée ».

 « La route chargée d’histoire qui relie Bar-le-Duc à Moulin-Brûlé (Verdun) ».

 Le 6 janvier 2003.

Parution dans le « Journal de la Haute-Marne », de cet article, qui est titré :

 « Sacrée Histoire ».

 Qui a pour sous-titre :

 « Passage stratégique reliant Bar-le-Duc à Verdun, durant la première guerre mondiale, cette « Voie Sacrée » chargée d’histoire, n’en finit pas de faire parler d’elle ».

 Il est écrit :

 « Le chemin parcouru depuis une dizaine d’années par Christian BOULAY, un Meusien à Paris, pour que se perpétue la mémoire de la « Voie Sacrée » (le journal de la Haute-Marne du 11 novembre 2002) est semé d’embûches et de difficultés.

 « Patient et même un peu têtu, comme ses recherches pointues le conduisent à des découvertes historiques importantes, il ne renonce pas ».

 « Pour les lecteurs du « Journal de la Haute-Marne », il a ouvert ses dossiers (NDLR, je lui ai remis un texte dactylographié) et mis à disposition le fruit de ses recherches qu’il a intitulé » :

 « L’histoire inédite de la Voie Sacrée ».

 Chemin semé d’embûches.

 « Depuis de nombreuses années Christian BOULAY a multiplié les interventions afin de perpétuer la mémoire ».

 « Le 30 août 1995 ».

 « - Il a écrit au secrétaire perpétuel de l’Académie Française en lui demandant d’associer « Le Meusien » (la voie ferrée départementale qui assurait également le ravitaillement du front en munitions) à la « Voie Sacrée » lors de la mise à jour du dictionnaire ».

 « Le 31 août 1995 ».

 «  - Il a proposé au Maire de Bar-le-Duc de rajouter, en dessous de rue de Verdun « Voie Sacrée ».

 « Le 6 novembre 1995 ».

 «  - Il a suggéré de débaptiser les rues du Passage-Inférieur et de Saint-Mihiel, afin de permettre à ces deux rues de porter le nom de « Voie Sacrée » tout au long de son parcours ».

 « Le 17 juin 1996 ».

 « - Il a eu la surprise d’apprendre par la presse qu’une plaque venait d’être apposée rue de Verdun, à la hauteur du monument symbolisant la première borne ».

 « - L’idée émise en 1995, a été reprise, mais personne n’a songé à lui attribuer ».

 «  - Après avoir envoyé plus de 100 lettres à différents interlocuteurs, après avoir essuyé de nombreux refus ou s’être heurté à des silences valant des fins de non recevoir, il espère encore que ses démarches permettront d’associer la « Voie Sacrée » et le « Meusien », à la victoire de la bataille de Verdun. L’intérêt de l’époque était de libérer la France de l’emprise Allemande, et non pas l’organiser, un concours d’efficacité entre la route et le fer ».

 Ce que je reproche à Madame MELISON :

 C’est de ne pas m’avoir cité dans le premier article qui est titré :

 « La Voie Sacrée, cette courroie de transmission » est parue le 11/11/2002.

 Je ne suis plus le propriétaire du fruit de mon travail.

 Et d’avoir refusé de m’apporter son soutien dans le conflit qui va m’opposer à la revue « 14/18 » qui est vendue en kiosques, comme nous allons le voir en détail.

  (Voir sur notre site : Paragraphe suivant :

« J’ai été trompé par la Revue 14/18 »).

   Christian BOULAY

 

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