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La revue et le plagiat (suite).

 «  VOIE SACRÉE  »

_____________________________

LA REVUE « 14/18 »

ET

  LE PLAGIAT. (Suite).

_______________

Après la mauvaise foi des responsables de la ‘’Revue 14/18’’ et la preuve que cet article, qui est titré :

 « La Voie Sacrée, organe vital à Verdun »

N’est que plagiat.

 Le 9 avril 2004 :

 J’adresse ce courrier au Directeur de la publication qui est reproduit ci-dessous :

 << Monsieur le Directeur,

 Je vous saurais gré de bien vouloir porter à cette lettre toute l’attention qu’elle requiert.

 Quelle ne fut pas ma surprise et ma colère quand j’ai découvert dans le numéro 17 de la revue bimensuelle ‘’14/18, Le magazine de la Grande Guerre’’, aux pages 36 et 37, cet article portant la signature de :

 Jean-Paul SOUDAGNE

 Titré : « La Voie Sacrée, organe vital à Verdun ».

 Le signataire de celui-ci n’a pas jugé utile d’effectuer des recherches, puisqu’il s’est contenté de reprendre un écrit de Gérard CANINI intitulé « La Voie Sacrée », ainsi que mon dossier qui porte le titre :

 « On a réduit la Voie Sacrée ».

 Que je vous ai adressé personnellement le 10 mars 2003.

 Vous avez gravement contrevenu à la Loi n° 57-298 du 11 mars 1957.

 Il ne me semble donc pas inutile de vous rappeler une partie du texte de cette Loi, en son titre 1er, articles 1 à 3 :

Article 1er :

 L’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre, du seul fait de sa création, d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. Ce droit comporte des attributs d’ordre intellectuel et moral, ainsi que des attributs d’ordre patrimonial qui sont déterminés par la présente Loi.

 Article 2 :

 Les dispositions de la présente Loi protègent les droits des auteurs sur toutes les œuvres de l’esprit, quels qu’en soient le genre, la forme d’expression, le mérite ou la destination.

Article 3 :

 Sont considérés notamment comme œuvre de l’esprit, au sens de la présente Loi, les livres, brochures et autres écrits littéraires, artistiques et scientifiques, les conférences, allocutions et autres œuvres de même nature……, les œuvres photographiques…….., les illustrations.

 Vous comprendrez aisément qu’ayant consacré une trentaine d’années à des recherches dans les archives et bibliothèques d’une part, collecté de nombreux documents d’autre part, il me soit parfaitement intolérable que vous ayez repris mon travail à votre entier profit.

 Je vous confirme dans la référence au texte de la Loi précitée, n’étant pas vous-même propriétaire de la documentation dont vous êtes servie et l’article 544 du Code Civil stipulant :

 « La propriété est le droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus absolue ».

 Vous voudrez bien considérer cette lettre comme ayant qualité de mise en demeure, aux fins de rentrer dans les droits qui sont les miens.

 Sans réponse de votre part, je me verrais dans l’obligation de donner à cette affaire la suite légale qui s’impose.

 Recevez, Monsieur, mes sincères salutations >>.

 Quelques jours plus tard, le 28 avril 2004, je reçois cette réponse :

« Cher Monsieur,

 Nous avons bien reçu votre lettre du 9 avril dernier relative à l’article « La Voie Sacrée, organe vital à Verdun ».

 Je comprends mal dans quelle mesure la Loi relative aux droits d’auteur peut s’appliquer à cette occasion. Il me semble, tout au contraire que vous auriez dû être heureux de constater que nous présentions, à partir de sources multiples, deux pages sur un sujet qui vous tient à cœur, et j’aurais mieux compris une lettre évoquant tout simplement votre action de longue date en ce domaine.

 Je dois d’ailleurs vous préciser que si vous nous adressiez une lettre en ce sens, et sous une forme adaptée à sa publication, nous pourrions en diffuser des extraits dans un prochain courrier des lecteurs.

 Dans l’attente,

 Je vous prie de croire, Cher Monsieur, à l’expression de ma considération distinguée.

Le Directeur de la Rédaction. »

 En quelques mots, le Directeur de la Rédaction, me dit, vous devriez être heureux que l’on ait plagié vos documents.

 Alors que le 6 août 2003, Monsieur SOUDAGNE me fait cette réponse qui fait suite à mes courriers de mars et du 2 août 2003 en ces termes :

 « Hélas, je ne vois pas qui peut faire aboutir vos démarches…. »

 « Comment vous apportez un soutien dans cette affaire ? Je pense qu’un article dans notre magazine ne modifierait pas l’attitude des élus concernés et ne ferait malheureusement pas avancer votre requête », etc.

 Et l’auteur de cette lettre, fait paraître en décembre 2003, un article qui est titré :

« La Voie Sacrée, organe vital à Verdun ».

 Pour l’écrire, il s’est contenté d’utiliser les documents que j’ai adressés au Directeur de la Rédaction, et je devrais me satisfaire de cette situation comme vient de l’écrire le Directeur de la Rédaction.

 Je reprends ces propos :

 « ………..Vous auriez dû être heureux de constater que nous présentions, à partir de sources multiples, deux pages sur un sujet qui vous tient à cœur, et j’aurais mieux compris une lettre évoquant tout simplement votre action de longue date en ce domaine ».

 La mauvaise foi :

Ils avaient tous les éléments en leur possession pour retracer mes démarches, mes actions en faveur de la « Voie Sacrée ».

Je ne peux m’empêcher de raconter cette affaire ; qui me hante depuis des années, qui a un point commun avec celle-ci.

 Elle me hante depuis la sortie de cet ouvrage en 1990 (24 ans) qui porte le titre :

« La Belle épépinée ».

 - Qui retrace l’histoire de la spécialité culinaire de Bar-le-Duc, qui se perpétue depuis 1339.

 « La confiture de groseilles épépinées à la plume d’oie ».

(Voir sur le site : www.association-michaux.com.es

Le chapitre : « l’histoire de l’office de tourisme de Bar-le-Duc »).

 A cette période, j’étais le seul à me passionner pour cette spécialité originale ((à travers son histoire, on retrace celle de l’histoire de France). J’ai consacré mon temps libre, dont mes vacances à effectuer des recherches dans les archives, bibliothèques, pendant des décennies.

 Il y avait le texte d’une conférence fait par Maître Jean COLLOT (ancien Maire de Bar-le-Duc) et mes écrits qui remontent à l’origine jusqu’à nos jours.

 Une histoire de plagiat :

 Il a été facile à Madame Marie-Thérèse BASTIEN, d’écrire un livre concernant cette spécialité. Il lui a suffit de reprendre le travail fait par d’autres, de broder, de raconter de faux faits historiques et comme nous allons le voir, pour illustrer le tout, de s’approprier mes photos.

 Elle a été jusqu’à reprendre ces quelques mots que j’utilisais dans tous mes écrits :

« Spécialité unique au monde ».

 Que l’on retrouve à la première page de son ouvrage…

 « Une confiture de groseilles

Unique au Monde ».

 Intéressons-nous à ces photos qui illustrent son livre :

 Je ne parle pas des lettres manuscrites datant du XIXe Siècle et XXe Siècle qui sont reproduites dans cet ouvrage, et qui proviennent de ma collection personnelle, mais de mes photos dont je suis propriétaire des clichés.

 Sur les vingt quatre photos qui illustrent celui-ci, vingt trois m’appartiennent notamment celles qui figurent à la page quatre vingt dix neuf, qui représentent les épépineuses de groseilles travaillant devant les caméras de télévision d’Antenne 2, filmées dans la dernière émission « Incroyable mais vrai » animée par Jacques MARTIN.

 Pour la petite histoire :

 J’étais autorisé, à titre exceptionnel, à faire ces clichés tout simplement parce que j’étais à l’origine de la présence des épépineuses sur le plateau de télévision, au théâtre de l’Empire à Paris.

 Toutes ces photos n’avaient jamais été publiées et je comptais le faire.

 Pour se défendre, cette personne n’a pas hésité à dire qu’il n’y avait qu’une ou deux photos qui m’appartenaient à l’intérieur de son livre.

 Cet ouvrage est sorti des presses de l’imprimerie, le 15 mars 1999, à grand renfort de publicité. La presse lui a consacré de nombreux articles. Elle a participé à des émissions de radios, de télévision. Elle est citée dans des publications.

 Et voilà comment on peut se faire un nom sans l’avoir mérité et puis il y a aussi le côté pécunier.

 Aujourd’hui, 24 ans après la sortie de ce livre, je suis toujours traumatisé par cette affaire.

 Après l’abus de confiance, la mauvaise foi des responsables de la ‘’ Revue 1418’’ et puis cette affaire que je viens de vous raconter m’ont incité à confier mon dossier à une Avocate.

 Le 13 juillet 2004 :

 Elle adresse un courrier au Directeur de la Rédaction pour lui faire part de mon mécontentement.

 Le 22 juillet 2004 :

 Elle reçoit cette lettre :

 « Saint-Cloud, le 22/07/2004

 Affaire : BOULAY/Magazine 14-18

 LETTRE RECOMMANDEE AR

 Maître,

 J’accuse réception de votre lettre en date du 13 juillet dernier relative à Monsieur BOULAY.

Notre conseil juridique se trouvant actuellement en congés, je vous propose de vous donner une réponse début septembre 2004, »etc.

 Cette réponse lui permet de gagner du temps.

 Le 16 septembre 2004 :

Sans nouvelle du Conseil Juridique, mon Avocate relance mon dossier à l’aide de ce courrier :

 << Monsieur le Directeur,

 Je reviens vers vous concernant l’affaire référencée ci-dessus.

 Par courrier en date du 22 juillet 2004, vous avez indiqué me fixer sur les suites de ma mise en demeure en date du 13 juillet dernier, début septembre.

 A ce jour, il ne m’est rien parvenu.

 Aussi, à défaut de réponse dans un délai de huit jours, je reprendrai ma liberté d’action.

 Je suis à la disposition de votre conseil pour tout entretien qu’il pourrait souhaiter.

 Je vous prie de croire, Monsieur, en l’assurance de mes sentiments distingués ».

 La juriste de cette revue, nous fait cette réponse :

 Le 28 septembre 2004 :

« Vos réf : BOULAY/Magazine 14/18

 Saint-Cloud, le 28 septembre 2004

 Maître,

 Nous faisons suite à votre courrier du 13 juillet 2004.

 Nous procédons actuellement à l’ensemble des vérifications qui s’imposent dans ce dossier et nous nous rapprocherons de vous très prochainement.

 Nous vous prions d’agréer, Maître, l’expression de nos salutations distinguées ».

 Le 28 Octobre 2004 :

La juriste change de bureau mais reste dans le même immeuble, utilise du papier à en-tête différent et elle prend le titre de responsable juridique pour répondre à mon Avocate.

 Un mois pour changer de bureau, changer de casquette et trouver du papier à en-tête, mais quatre mois pour nous répondre ceci :

 « Saint Cloud, le 28 octobre 2004,

 Maître,

 Nous avons fait effectuer les recherches qui s’imposaient suite à votre courrier du 13 juillet 2004. Nous ne comprenons pas les griefs de Monsieur BOULAY.

 Tout d’abord, vous affirmez sans plus d’explications, que l’article « La Voie Sacrée, organe vital à Verdun » paru dans notre publication « 14/18 » n° 17 reproduit l’article de Monsieur BOULAY « La Voie Sacrée », cette courroie de transmission » paru dans le journal de la Haute-Marne du 11 novembre 2002 ainsi que son manuscrit « On a réduit la Voie Sacrée ».

 D’une part, nous n’avons pas connaissance de l’article de Monsieur BOULAY « La Voie Sacrée », cette courroie de transmission » que vous invoquez, et d’autre part, nous n’avions pas utilisé le manuscrit de Monsieur BOULAY intitulé « On a réduit la Voie Sacrée » pour la rédaction de notre article.

 En conséquence, nous sollicitons de votre part, s’il y a lieu, des précisions sur les éléments qui justifient votre demande.

 Nous comprenons fort bien l’intérêt de Monsieur BOULAY pour « La Voie Sacrée ». Cependant, nous recevons de nombreux dossiers et ne pouvons malheureusement  pas satisfaire tous nos lecteurs. Néanmoins, nous réitérons notre proposition de publier dans un prochain courrier des lecteurs, des extraits d’une lettre de Monsieur BOULAY évoquant son action de longue date sur le sujet de « La Voie Sacrée ».

 Je retiens de cette lettre :

 « …….nous n’avons pas connaissance de l’article de Monsieur BOULAY …… « La Voie Sacrée, cette courroie de transmission » que vous invoquez, et d’autre part, nous n’avons pas utilisé le manuscrit de Monsieur BOULAY intitulé « On a réduit la Voie Sacrée » pour la rédaction de notre article ».

 Et pourtant, dans son courrier du 6 août 2003 :

Monsieur SOUDAGNE m’écrit :

« Nous avons bien reçu votre courrier en date du 2 août dernier ainsi que précédemment le dossier que vous nous avez envoyé ».

 « Du reste nous l’avons lu avec soin et étudié attentivement les réponses qui vous sont parvenues, etc ».

 Cette lettre active ma colère :

 Il faut savoir que j’ai pendant de nombreuses années, travaillé à retracer l’histoire de la célèbre route « Voie Sacrée », travail fastidieux. Je lui ai consacré plus de quatre mille heures.

 Je prends contact avec une revue spécialisée :

 Lecteur assidu de cette revue, je prends contact avec le service commercial de celle-ci en novembre 2014.

 Le 8 décembre 2004 :

 J’informe mon Avocat de ma démarche effectuée auprès de cette revue spécialisée, par courrier en ces termes :

 << Le dernier courrier adressé par le service juridique de la ‘’Revue 14/18’’ m’a révolté et j’ai décidé de passer à la vitesse supérieure en faisant paraître une annonce (payante) dont vous trouverez ci-jointe une photocopie » etc >>.

 Après mon appel téléphonique du 5 janvier 2005 :

 Je reçois ce courrier, de la revue spécialisée :

« Samois sur Seine,

Le 05 janvier 2005

 Monsieur,

 Suite à notre conversation téléphonique de ce jour, veuillez trouver ci-joint une proposition de contrat pour des insertions publicitaires à paraître en contrat 2005.

 Après l’avoir étudiée, si celle-ci vous convient, merci de nous la retourner avec votre cachet et signature apposés en bas de page à l’adresse suivante ainsi que votre premier règlement et vos éléments.

 Pour tous renseignements complémentaires, n’hésitez pas à me contacter.

 Cordialement, ».

 Le 11 janvier 2005, je lui fais cette réponse :

 << Madame,

 Suite à notre conversation téléphonique de ce jour, et comme convenu, je vous confirme l’impression de :

 - 4 pavés de 40mm X 42mm à faire paraître dans les revues numéros :

539 du 28 janvier,

541 du 11 février,

543 du 25 février,

545 du 11 mars.

 Au prix unitaire de 60 € H.T et non pas 68 €.

 Vous trouverez ci-joint :

 Un texte à faire paraître dans la rubrique

« 13 livres »

 Mais en haut de la page :

« Recherches personnes victime de plagiat… ».

 - Ainsi qu’un chèque bancaire d’un montant de 71,76 €

Etc.

 Le 07/02/2005 :

 Après la parution de cette annonce, je reçois ce courrier :

Du Directeur de la Rédaction de la ‘’Revue 14/18 ’’ :

 « Monsieur,

 J’ai découvert une annonce concernant notre magazine.

 Je suis très surpris du contenu de cette annonce qui a un caractère diffamatoire à notre égard : La ligne éditoriale du magazine 14/18 s’appuie sur des articles originaux pour lesquels les auteurs sont rémunérés en conséquence.

 Je vous serais donc reconnaissant de bien vouloir me faire connaître, dans les meilleurs délais, pour quelles raisons vous avez cru utile de diffuser une telle annonce. Il va de soi que nous réservons pour entreprendre les démarches juridiques adaptées au préjudice subi.

 Dans l’attente,

 Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

 Directeur de la Rédaction ».

 

Ma première réaction est de reprendre le courrier daté du 28 avril 2004 où le Directeur de la Rédaction m’écrit :

 « Il me semble, tout au contraire, que vous auriez dû être heureux de constater que nous présentions, à partir de sources multiples, deux pages sur un projet qui vous tient à cœur, etc ».

 Je réponds au Directeur de la publication de la ‘’Revue 14/18’’ en lui retraçant par ordre chronologique mes échanges de courrier depuis le début de cette affaire, et les raisons qui m’ont incité à passer cette annonce.

 Le 07 mars 2005 :

C’est au tour de l’Editeur de la revue spécialisée de m’écrire ceci :

 « Votre annonce parue dans notre revue numéro 539 a suscité de la part de notre confrère, le groupe de presse…..un courrier nous faisant part de son mécontentement ».

 « La responsable commerciale aurait dû me soumettre pou accord avant parution votre annonce. J’aurai été alors amené à refuser son passage, par mesure de prudence, en raison de son caractère diffamatoire ».

 « En effet, les éditions………..se réservent le droit de refuser les petites annonces en publicités qu’elles jugeraient non-conformes au caractère à l’esprit ou à l’esthétique de nos revues, ainsi qu’il est stipulé dans l’ours de la vie des collectionneurs ».

 « En conséquence, je vous informe qu’il nous est impossible de continuer la parution de votre petite annonce ».

 Le 24 mars 2005 :

 Je tiens à me justifier auprès de l’éditeur de la revue spécialisée :

<< Je fais suite à votre courrier du 7 mars dernier, dont j’ai été très choqué >>.

 << Avant de m’adresser cette lettre, vous auriez pu faire preuve de professionnalisme en vous posant cette question : pourquoi un de nos lecteurs recherche des personnes victimes de plagiat, en payant des annonces ? >>.

 << Vous ne vous êtes même pas renseigné auprès de Madame …(personne consciencieuse qui assume ses responsabilités et à qui j’avais communiqué quelques éléments concernant mon dossier). Elle a eu le courage d’accepter de passer mon annonce mais vous, vous ne vouliez pas la faire paraître ; un vrai professionnel aurait agi avec diplomatie >>.

 << Il est difficile d’avoir des clients, il ne faut pas grand-chose pour en perdre. Par conséquent, on y met les formes. (…..le but de cette censure est pour vous, de les protéger….) >>.

 << Ce que vous n’avez pas compris, c’est que je suis une des victimes de plagiat par la revue. Pour cette raison, j’ai payé pour faire passer des annonces >>.

 Après avoir détaillé les raisons qui m’ont poussé à passer des annonces de cette revue, je termine par :

<< Encore une fois, je remercie Madame……. Qui a su assumer ses responsabilités et je tiens à l’assurer de mon entier soutien >>.

 << Quand la presse est censurée, elle crie au scandale, mais elle trouve normale de censurer ses lecteurs >> etc.

 Le 05 avril 2005 :

Je reçois cette réponse de la revue spécialisée qui fait suite à mon courrier du 24 mars 2005 :

« J’ai bien reçu l’imposant courrier que vous m’avez adressé et vous en remercie.

 A titre personnel, je ne saurais que vous féliciter de votre détermination pour défendre une cause dont on ne peut que saluer la pertinence.

 Cependant, ce que vous nous reprochez, c’est-à-dire de refuser de passer une annonce faisant un appel aux éventuelles victimes de plagiat de la part de notre  confrère éditant la revue, s’explique, etc.

 Il est indubitable que la publication d’un texte peut être considéré comme une atteinte à l’image et à l’intégrité de notre confrère. Que vous ayez raison ou que vous ayez tort dans votre démarche n’a rien à y voir.

 En tant que Directeur de la Publication, je suis personnellement responsable des écrits véhiculés par ce support et je ne dois qu’aux bonnes relations que j’entretiens avec M….., qu’aucune action en justice n’ait été lancée à notre encontre à la suite de cette publication.

 J’espère que vous comprendrez mieux notre attitude qui ne saurait en aucun cas assimilée à un refus de vente.

 Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes salutations ».

 Le 09 mai 2005 :

 Je reçois un courrier de mon Avocate qui m’écrit ceci :

« Je reviens vers vous concernant le litige qui vous oppose au magazine « 14/18 » et vous prie de trouver ci-joint, copie de la mise en demeure adressée par le magazine, etc ».

 Que je reproduis ci-dessous :

 « Nous faisons suite à la correspondance de Monsieur BOULAY en date du 24 mars 2005 (courrier de 4 pages).

 Il invoque désormais le plagiat de son article intitulé « Une sacrée histoire ». Il semble qu’il fasse référence à l’article paru dans le journal de la Haute-Marne du 6 janvier 2003. A notre connaissance, et après enquête, il n’est pas l’auteur de cet article. Si tel était le cas, nous vous remercions de nous adresser tout élément de preuve.

 Il est par contre l’auteur des annonces parues dans la presse recherchant des victimes de plagiat par la revue 14/18.

 Nous mettons en demeure votre client de cesser toute manœuvre calomnieuse à notre égard.

 A défaut, nous nous verrons contraints de confier ce dossier à notre Avocat afin qu’il engage toute procédure utile.

 Nous vous prions d’agréer, Maître, l’expression de nos salutations distinguées.

Directeur de la Publication ».

 Non, je ne suis pas l’auteur de cet article paru le 6 janvier 2003, il est écrit dans celui-ci :

 « Le chemin parcouru depuis une dizaine d’années par Christian BOULAY, un Meusien à Paris, pour que se perpétue la mémoire de la « Voie Sacrée » (le journal de la Haute-Marne du 11 novembre 2002), est semé d’embûches et de difficultés ».

 « Patient et même un peu têtu, comme ses recherches pointues le conduisent à des découvertes historiques importantes, il ne renonce pas ».

 « Pour les lecteurs du journal de la Haute-Marne, il a ouvert ses dossiers et mis à disposition le fruit de ses recherches qu’il a intitulé :

 « L’histoire inédite de la Voie Sacrée ».

 Or, je n’ai pas ouvert mes dossiers mais j’ai remis à l’auteur de cet article Madame MELISON, un texte dactylographié. Il lui a suffit de reprendre ce que j’ai écrit pour rédiger cet article de presse, changer, déplacer un mot, etc.

 (Voir suite sur site :

« La revue 14/18 et le plagiat, suite et fin »).

Christian BOULAY


 

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