J'ai été trompé par la Revue.

 «  VOIE SACRÉE  »

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 J’AI ETE TROMPÉ

PAR LA REVUE 14/18.

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N’étant pas tout à fait satisfait de l’article qui est paru dans le « Journal de la Haute-Marne », le 12 décembre 2002, sous le titre :

 « Une Sacrée Histoire ».

 Madame MELISON ne cite pas la délibération du Conseil Municipal du 28 juin 1996, qui décide :

 - D’accepter que ces deux voies soient dénommées comme suit :

 - Rue de Verdun - Voie Sacrée dans sa totalité,

- Rue de Saint-Mihiel - Voie Sacrée à partir des numéros 45 à 64,

- De donner tout pouvoir au Maire pour mener à bien cette affaire.

 Je souhaitais que l’accent soit mis sur le fait que cette délibération n’a pas été appliquée ; les plaques des rues n’ont pas été changées.

 Mon but n’est pas de faire parler de moi, mais d’obtenir satisfaction afin de refermer ce dossier ouvert, il y a aujourd’hui, onze ans.

 Alors que j’ai dépensé beaucoup d’énergie, pour le devoir de mémoire si cher aux élus.

 Le plagiat de la « Revue 14/18 ».

 Fidèle lecteur de cette revue, j’adresse un courrier qui est accompagné d’un dossier manuscrit daté, le 10 mars 2003 au Directeur de la rédaction de ce bimensuel.

 Où je lui écris ceci :

 « Fidèle lecteur de votre revue, je me permets de vous adresser, non pas l’histoire de la « Voie Sacrée », mais le compte-rendu de mes différentes démarches, afin que la célèbre route Bar-le-Duc/Verdun porte le nom de « Voie Sacrée » sur la totalité de son parcours ».

 « A la lecture du dossier joint, vous constaterez que depuis 1995, je suis pris pour « l’idiot du village ».

 « J’espère que vous soutiendrez mon action et à l’avance, je vous en remercie…. ».

 Pour donner une crédibilité à cette lettre, je joins une photocopie de l’article de presse qui est titré :

 « La Voie Sacrée », cette courroie de transmission ».

 N’ayant pas de réponse, j’adresse un second courrier qui est daté du 2 août 2003 :

Où j’écris :

 « En mars 2003, je vous ai adressé un dossier intitulé « On a réduit la Voie Sacrée – la route chargé d’histoire qui relie Bar-le-Duc à Verdun ».

 « - Que vous avez reçu, puisque je l’ai envoyé non pas en recommandé, mais en « lettre suivie ».

 «  Sans la « Voie Sacrée » il n’y aurait jamais eu de Verdun et certainement, la défaite de la France au cours de cette première guerre mondiale.

 « Je pensais obtenir votre soutien dans mes démarches, me serais-je trompé ? » etc.

 Un journaliste pas très catholique me répond :

 Quelques jours plus tard, le 6 août 2003, Jean-Paul SOUDAGNE, Secrétaire de rédaction de cette revue, me fait cette réponse ; sur du papier entête de la revue :

 

Saint- Cloud, le 06/08/2003.

 Cher Monsieur,

 « Nous avons bien reçu votre courrier en date du 2 août dernier, ainsi que précédemment le dossier que vous nous aviez envoyé ».

 « Du reste, nous l’avons lu avec soin et étudié attentivement les réponses qui vous sont parvenues. Hélas, je ne vois pas qui peut faire aboutir vos démarches. Pourtant sans la Voie Sacrée…..la bataille de Verdun aurait-elle eu la même issue pour la France ? ».

 « Comment vous apporter un soutien dans cette affaire ? Je pense qu’un article dans notre magazine ne modifierait pas l’attitude des élus concernés et ne ferait malheureusement pas avancer votre requête ».

 « Je vous prie de croire, Cher Monsieur, à l’expression de ma considération distinguée ».

Jean-Pascal SOUDAGNE

Secrétaire de rédaction.

 « J’avais pensé par erreur que cette revue était la seule qui pouvait faire bouger les choses…. ».

 Trois mois plus tard :

 Le numéro 17 - décembre et janvier 2004 de la « Revue  14/18 ».

Comme je le fais tous les deux mois, début décembre 2003, chez mon libraire, j’achète ma revue bimensuelle préférée (elle l’était….).

 Chez moi, bien installé, je feuillette ce nouveau numéro.

 Quelle surprise désagréable !

 Quelle ne fut pas ma surprise en lisant le numéro 17 de la revue bimensuelle « 14/18, le magazine de la grande guerre ».

 - D’y découvrir cet article qui figure aux pages 36-37, portant la signature d’un soi-disant journaliste dénommé Jean-Paul SOUDAGNE, qui est titré :

 « La Voie Sacrée, organe vital à Verdun ».

 Le signataire de celui-ci n’a pas jugé utile d’effectuer des recherches, puisqu’il s’est contenté de reprendre l’article écrit par Gérard CANINI, intitulé :

  « La Voie Sacrée ».

 Ainsi que mon dossier intitulé :

 « A Bar-le-Duc (Meuse) »

« On a réduit la Voie Sacrée ».

« La célèbre route chargée d’histoire

Qui relie

Bar-le-Duc à Verdun ».

 Et l’article paru dans le « Journal de la Haute-Marne » :

 « Une Sacrée Histoire ».

Que j’ai adressé au Directeur de la rédaction, comme nous allons le voir plus loin.

 Mon dossier est composé de deux parties :

 La première comprend :

 L’article de presse paru dans le « Journal de la Haute-Marne » le 6 janvier 2003 qui porte le titre :

 « Une Sacrée Histoire ».

 « Passage stratégique reliant Bar-le-Duc, durant la première guerre mondiale, cette « Voie Sacrée » chargée d’histoire n’en finit pas de faire parler d’elle ».

 Un texte historique dactylographié que j’ai écrit en 2003 et qui retrace l’histoire de la « Voie Sacrée » (qui n’avait jamais été publié) après la première guerre mondiale à aujourd’hui.

 Notamment l’histoire de l’Arc de Triomphe :

 Je suis le seul à avoir écrit sur le sujet ; Monsieur SOUDAGNE s’est approprié son histoire.

- Des reproductions d’articles de presse,

- Des reproductions de photos,

 La deuxième partie de ce dossier :

 Est constituée de photocopies de courrier justifiant mes démarches effectuées pendant une dizaine d’années, afin que la route Bar-le-Duc/Verdun porte le nom « Voie Sacrée » sur la totalité de son parcours.

 Le travail de Gérard CANINI dans la « Revue 14/18 ».

Je ne m’attarderai pas sur la page 36 de la « Revue 14/18 » qui n’est, elle aussi, que plagiat, puisque le signataire de l’article en question a utilisé celui écrit par Gérard CANINI (aujourd’hui décédé) qui porte le titre « La Voie Sacrée ».

 Je vais décortiquer la page 37 de cette revue (qui me concerne) pour montrer comment Monsieur SOUDAGNE, journaliste à la « Revue 14/18 » utilise le travail fait par d’autres et sans complexe, se l’approprie en y mettant sa signature.

 Pour la suite :

(Voir le paragraphe suivant :

« Le plagiat »).

  Christian BOULAY

 

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