La revue et le plagiat (fin).

«  VOIE SACRÉE  »

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 LA « REVUE 14/18 »

ET

    LE PLAGIAT. (Suite et fin)

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 Je fais appel à madame MELISON du Journal de la Haute-Marne

 afin d’obtenir son soutien dans l’affaire qui m’oppose à cette revue :

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 Au début de cette affaire, j’ai tenté de joindre par téléphone, à plusieurs reprises,  Madame Gil MELISON, auteur de cet article de presse, sans y parvenir. Je souhaitais lui faire part de cette situation. C’est une personne qui est difficilement joignable. Je croyais obtenir son soutien. Pour cette raison, j’ai accusé cette revue de plagiat. Je sais très bien que, dès l’instant où l’on remet un texte, que ce soit à un journaliste ou à un correspondant de presse, celui-ci ne vous appartient plus.

 Quand j’ai reçu la lettre de mon Avocate datée du 09 mai 2005, accompagnant la mise en demeures adressée par le magazine 14/18, j’ai tout de suite contacté Gil MELISON, j’ai eula chance de la joindre par téléphone. Elle m’a conseillée de lui adresser tous les éléments afin qu’elle puisse se faire une idée de cette affaire.

 Je lui adresse le 24 mai 2005, par la poste, un tapuscrit intitulé :

 « Comment un journaliste utilise le travail fait par d’autres pour se faire un nom, dans un magazine vendu en librairie, en kiosque, etc…, au prix de 5,95 € ? ».

 En 64 pages est décortiqué le plagiat de cette revue. Il est daté du 29 février 2001. Il est accompagné d’une lettre que je vais, ci-dessous détailler. Le tout, daté du 20 mai est expédié le 24 mai 2004, non pas en recommandé mais en « Prêt à suivre » numéro 1L 0133 137 6956, et réceptionné le lendemain 25 mai.

 Je reproduis ci-dessous le courrier que je lui ai adressé :

                                                                                                                                         Paris, le 20 mai 2005

Monsieur BOULAY Christian                                                                                                                                                                                                                                                                           Madame Gil MELISON-LEPAGE

 Lettre recommandée avec AR.

 Gil,

 << Suite à notre conversation téléphonique et comme convenu, je joins à cette lettre un dossier intitulé : « Comment un journaliste utilise le travail fait par d’autres, etc…. » >>.

 << A la lecture de celui-ci, vous constaterez que la ‘’revue 14/18’’ a plagié entre autres, l’article paru le 6 janvier 2003, dans le « Journal de la Haute-Marne » intitulé : « Une Sacrée histoire… » >>.

 << Pour bien comprendre ce dossier, je vais reprendre notre histoire au début de notre rencontre >>.

 << Notre  ami commun, connaissant depuis de nombreuses années, mes difficultés à faire dénommer officiellement dans la traversée de Bar-le-Duc, la route stratégique Bar/Verdun « Voie sacrée », m’a incité à vous rencontrer ; pour lui, vous étiez la seule personne à pouvoir m’aider sans me plagier. Il faut savoir que mes travaux (textes et photos) sont sans cesse copiés >>.

 Il n’est pas inutile de rappeler cet entretien :

 << Par conséquent, je suis très méfiant. Je lui ai fait confiance et il a organisé notre rencontre >>.

 << Nous nous sommes retrouvés tous les trois dans un café du Vert Bois à Saint-Dizier en ce début d’année 2002. Au cours de notre discussion, je vous racontais mon histoire, mes démarches, mes échecs. Vous étiez intéressée par mes explications et vous m’invitiez à vous adresser un premier article qui retracerait l’histoire de la « Voie Sacrée » ainsi qu’un second qui paraîtrait par la suite et qui reprendrait mes différentes démarches dans le but de faire classer cette route stratégique >>.

 << Au cours de notre conversation, j’ai formulé une exigence dont notre ami commun et témoin : afin de protéger mes travaux, je vous avais demandé de faire figurer mon nom dans les textes « comme Christian BOULAY raconte » :

 << J’ai été correspondant de presse au journal l’Union à Saint-Dizier et je sais que n’étant pas journaliste, je ne pouvais pas signer mes articles >>.

 << Sur le principe, vous étiez d’accord >>.

 Le 11 novembre 2002, parution d’un premier article dans le Journal de la Haute-Marne :

 << Fin octobre 2002, je vous adresse le premier article ainsi que des photos, qui porte le titre : « La bataille de Verdun et l’histoire de la Voie Sacrée » qui est accompagné d’une lettre où il est mentionné : que mon nom doit figurer dans cet article pour la raison que je viens de donner.

 << Le lundi 11 novembre 2002, paraît cet article qui porte le titre : «  La Voie Sacrée, cette courroie  de transmission » et qui représente presque une page entière du journal. J’ai pris connaissance de celui-ci quinze jours après sa parution. J’ai été très contrarié de constater une fois de plus que j’ai été abusé puisque mon nom ne figurait pas dans ce texte >>.

 << Il faut savoir que je suis un passionné et comme tous les passionnés, je ne compte ni mon temps, ni mes dépenses (photocopies, achats de livres, de revues, frais de secrétariat, frais de déplacement pour me rendre aux archives, bibliothèques)etc >>.

 Le 06 janvier 2003, parution du second article :

 << Pour réparer cet oubli, vous me proposez de vous adresser un second papier ; je vous adresse un texte dactylographié, illustré, daté du 12 décembre 2002 et qui porte le titre :